Le handball Féminin
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La LFH dans la Presse

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La LFH dans la Presse Empty LNH 5000 spectateurs à Nantes

Message  Hand29 Mar 3 Mar - 18:10

Pourquoi le HBCN fait le plein

HBC Nantes - Montpellier avait attiré 5 000 spectateurs au palais des sports de Beaulieu
Seulement 12 places invendues en 6 matches du HBCN à Beaulieu. Explications du président Gaël Pelletier.

Service promotion étayé par les Bleus

« Les victoires de l’équipe de France constituent un atout mais la France n’était pas encore championne du monde que toutes les places étaient vendues pour le match contre Montpellier. C’est un plus, mais ensuite c’est la qualité du spectacle proposé, l’engagement, qui font que les spectateurs reviennent. »

Sport spectaculaire

« Même si on peut déplorer que le HBC Nantes ne les gagne pas tous, on ne voit que des beaux matches. Nous avons une équipe qui se bat et qui va toujours essayer d’aller chercher une victoire. Le public ne se trompe pas, cette équipe ne triche pas et il aura toujours un spectacle engagé. »

Un accueil peaufiné

« Le public souhaite être bien accueilli dans un environnement agréable. Pour l’ambiance, on a eu recours à des fanfares pour faire en sorte que les gens ne restent pas spectateurs mais deviennent supporters. »

« Un 0-0, ça n’existe pas »

« La maladresse n’est pas forcément rédhibitoire au handball. Si le tireur loupe son tir, ça va provoquer une parade un peu extraordinaire du gardien. La maladresse n’a pas d’impact négatif. »

Une réservation facilitée

« La mise en place d’une billetterie électronique a bien contribué à ce que les gens puissent venir tranquillement en ayant l’assurance d’avoir une place. Ça facilite aussi l’accès du public qui vient d’un peu plus loin. Et on sait qu’il vient d’un périmètre d’à peu près 100 kilomètres. »

6 à 9 € la LNH

« On ne veut pas que les prix soient bloquants pour les gens et permettre l’accès au plus grand nombre. On est resté dans cette idée pour que tout le monde puisse venir voir le handball. Je préfère augmenter la capacité de la salle que le prix des places. »


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La LFH dans la Presse Empty Coupe de France Nantes - Arvor 29

Message  Hand29 Mar 3 Mar - 17:57

Le NLAH reste d'un rien au bout du quai
Photo Arnault Cantreau
Les qualités défensives d'Elodie Cousin, blessée la saison dernière, ont été précieuses au NLAH pour bloquer la puissance des Brestoises. : Photo Arnault Cantreau
Au terme d'un match animé, les Nantaises ont fait plus que jeu égal face à Brest pensionnaire de l'élite. Elles s'inclinent finalement d'un petit but après avoir poussé les Bretonnes jusqu'aux prolongations (32-33).
300 km séparent le NLAH de l'Arvor 29, deux divisions sur le plan sportif. Malgré cet écart supposé impossible à combler, les Nantaises débutèrent avec une réelle détermination. Pourtant oui, dès l'entame on pouvait craindre une démonstration des Bretonnes inscrivant un 0-3 autoritaire. Mais il n'en fut rien.

Des ressources mentales

Les coéquipières d'Elodie Cousin, précieuse en défense pour déjouer les relations attaque-pivot, refirent leur retard. Traoré montrait la voie suivie ensuite par Grenier puis Solène « DLB » De la Bretèche (3-3 puis 7-7). Mieux, les Nantaises passaient devant à la marque sur un jet au sept de Traoré (8-7, 15e).

Et même quand Brest sous l'impulsion de Le Goff en remettait une couche pour se détacher (10-13, 23e), Chevarin, suppléée par Grenier, maintenait les Jaune dans le coup pour accuser deux - petits - buts de retard à la pause (13-15).

La perforatrice Vaitanaki

Dès le retour des vestiaires, Vaitanaki à elle seule, prit les choses en main pour infliger un 1-6 en sept minutes. Rien ne semblait alors arrêter la déferlante brestoise (20-25). Rien ou presque car comme en première, les locales, Grenier et Kouki mises sur orbite, trouvèrent des ressources pour réussir un 4-0 et même passer devant (27-26). Un retour qui envoyait les deux équipes vers les prolongations (28-28).

Les occasions manquées

Le scénario du deuxième acte se répétait avec trois unités d'avance rapidement acquises par Tarteret (28-31) mais vite comblées par une DLB intenable en attaque (7/7). Bousculées dans leur dernier retranchement, les Finistériennes possédaient seulement un petit but d'avance (31-32). Elles haussaient alors le ton physiquement à 2 minutes du terme. L'attitude était doublement sanctionnée par les arbitres avec les sorties successives de Vaitanaki et Tarteret.

Une aubaine offerte aux Nantaises pour recoller au score. Mais Pretescu-Bucur aidé par ses montants douchait les derniers espoirs de Traoré sur penalty ou Grenier au tir de loin. Brest arrachait finalement sa qualification d'un rien, Grenier ne pouvant que réduire l'écart dans les ultimes secondes (32-33). Dommage mais encourageant pour la suite du championnat.

Jérome Heurtebize

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Message  Hand29 Mer 28 Jan - 14:51

Dossier révolution annoncée en division 1

Le handball féminin avance à marche forcée

Le cahier des charges de la future Ligue fédérale devrait entraîner un remaniement de l’élite féminine. Où seuls survivront les clubs les mieux dotés. Pas du goût de tout le monde…

C’est sûr, ça ferait riquiqui. Mais c’est bien le projet dans les cartons de la Fédération française : la saison prochaine, les clubs de l’élite féminine qui n’auront pas satisfait au cahier des charges fixé par la nouvelle Ligue fédérale seront priés de rester en salle d’attente. Et d’assister, de loin, aux joutes de la Division 1. On fait nos comptes : tout répertorié, seulement dix équipes pourraient être autorisées sur la ligne de départ en 2008-2009 ­ contre douze actuellement. Maigre.

Récapitulons : le handball féminin made in France, c’est un peu le sport professionnel qui aurait oublié de passer par la case portefeuille garni. Du haut de ses quatorze titres nationaux, Metz en connaît une tranche, qui domine de la tête et des épaules le championnat, tant grâce à son poids financier qu’aux moyens sportifs mis en œuvre sur le terrain. Les deux se faisant écho.
Dans le fond, l’intention est louable. L’effort de customisation mis en place autour de l’équipe de France féminine durant le dernier Mondial tarde à trouver un prolongement consistant en championnat. Avec sa Ligue, la Fédération entend donner elle-même un sévère coup de fouet. Budgets en augmentation, effectifs composés aux trois-quarts de joueuses sous contrat professionnel, salles relookées. Certains dirigeants peuvent bien s’étrangler, le DTN Philippe Bana ne reculera pas et il l’exprime en des termes fleuris, relayés par le site internet du club d’Angoulême : «Le cahier des charges, il n’est pas là pour qu’on se torche le c.. avec ! »
Qui suivra ? A Metz, ces promesses de progrès sont accueillies sans rechigner. Mais ailleurs ? A bien des égards, le handball féminin continue de faire prospérer des fonctionnements de type associatif, dépouillés, faute de moyens le plus souvent. «L’idée, c’est de rendre nos clubs de plus en plus performants », explique-t-on du côté de la CNCG (Commision nationale de contrôle et de gestion), où la situation messine - remise à flot - a valeur illustrative : «Qu’est-ce qui a sauvé ce club ? Sa nouvelle équipe dirigeante, qui a tout de suite assimilé qu’on ne pouvait plus continuer avec une gestion de patronage », martèle Pierre-Michel Ferry, le président de la CNCG.

Le grand soir à l’envers

Révolution en marche ? «Cette Ligue veut entraîner une prise de conscience au sein des clubs. Tout en anticipant certaines difficultés. Le désengagement de l’Etat vis-à-vis des collectivités pose ainsi la question du financement des clubs. Les collectivités continueront-elles à verser les mêmes subventions à des clubs peu sains au plan comptable ou sans projets visibles ? » interroge Pierre-Michel Ferry.
Exercice d’anticipation : si la mise à feu de la Ligue est actée lors de la prochaine assemblée générale, Vesoul et Mios (en lutte pour le maintien) peuvent d’ores et déjà plier bagage et dire adieu à la Division 1. Quant aux promus potentiels, issus de l’échelon inférieur (Yutz en fait partie), rien n’indique qu’ils seront en capacité de les remplacer. La Ligue exige un budget minimum de 700 000 euros. En D2, la moyenne s’élève douloureusement à 250 000 euros. «Catastrophique », juge la CNCG. Tandis que Philippe Bana promet qu'«aucune exception ne sera faite ». La monnaie comme juge de paix, les moins robustes invités à rebrousser chemin… Question anxiogène dans l’hypothèse de ce grand soir à l’envers : le handball est-il encore de gauche ?

Pierre THÉOBALD.
Publié le 26/03/2008
le républicain Lorrain

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Message  Hand29 Mer 21 Jan - 17:21

Actus Clubs

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