Actus Nîmes

Handball fémininAprès sa victoire en Challenge cup
RAPPEL
Le club gardois a obtenu un deuxième succès européen La fête s'est prolongée tard dimanche. De retour d'Allemagne, où elles ont ba ttu le Thüringer HC en finale retour de la Challenge cup (25-30 après le 26-22 de l'aller), les Nîmoises, brandissant fièrement leur coupe, ont joué avec leurs supporters, dans un bar du centre-ville, une troisième mi-temps digne des deux premières effectuées samedi dans la Messe halle de Erfurt. Les derniers lampions sont éteints. Les joueuses ont une saison à finir et leurs dirigeants un succès à gérer.
1 Des nouveaux
partenaires attendus Le handball - féminin surtout - n'est pas le foot. En guise de prime, chaque joueuse du groupe va toucher 5 % de son salaire annuel (de 600 € à 1 200 €). Et le club ne va pas subitement s'enrichir.
Entre les frais d'engagement auprès de l'EHF, l'organisation et les déplacements, chaque tour de coupe d'Europe lui coûte même 15 000 €. « Certains sports touchent des primes à chaque tour. Pour nous, c'est à chaque tour sa déprime », note avec humour, mais aussi une pointe d'agacement, Olivier Gébelin, le président du club.
Pour l'heure, les artisans de ce succès goûtent une médiatisation, en grande partie régionale, qu'ils savent éphémère. Quelles retombées faut-il donc attendre ? « L'arrivée de nouveaux partenaires désireux de soutenir un sport qui véhicule des valeurs positives et qui viendraient primer la performance », espère le président nîmois. Cette saison, le budget du HBCN est de 1 M€, financé à 64 % par les collectivités, la Ville de Nîmes étant avec 400 000 € son principal bailleur de fonds (190 000 pour le conseil général, 50 000 pour la Région).
2 Garder la même philosophie Paradoxe du HBCN : il est le seul club français à avoir gagné deux coupes d'Europe, mais n'a pas encore inscrit son nom au palmarès d'une des trois compétitions domestiques. « Je n'échangerais pour rien ces deux coupes », dit Olivier Gébelin qui admet toutefois : « Dans notre projet, on se doit de gagner une épreuve nationale. » Pour essayer d'y parvenir, le club, bon élève de la LFH, présentera, mercredi à la CNCG, un budget de 1,150 M€. Il ne fera pas de folie, en conservant la quasi totalité de son effectif qui fait la part belle aux jeunes issues de la formation. Il ne désespère d'ailleurs pas rapatrier Camille Ayglon, un de ses fleurons, partie à Metz. « Dans ce cas, il faudrait boucler un budget de 1,2 M€ », prévient Olivier Gébelin. Pour continuer de grandir et d'apprendre, le HBCN envisage aussi, la saison prochaine, non pas de défendre sa Challenge cup, mais de jouer la coupe EHF, une épreuve nettement plus prisée.
3 Encore deux matches pour finir la saison Depuis le 20 septembre, le HBCN a joué 33 matches officiels, dont 14 lors des deux derniers mois. Si les organismes sont entamés, deux matches de championnat sont encore au programme : à Issy dès demain ; face à Mios, samedi au Parnasse. L'enjeu est de taille puisque les filles de Manu Ilie ont une troisième place à défendre. Si elles y parvenaient, elles boucleraient alors la meilleure saison dans l'histoire du club. Reste à savoir si les jambes suivront et si les têtes seront redescendues du nuage sur lequel elles sont montées samedi.

Frédéric PRADES
Midi Libre

Édition du mercredi 25 mars 2009
DR

Photo Stéphane BARBIER

HandballDivision 1 féminine (16 e journée) : Nîmes joue à Angoulême

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Challenge cup dames (quarts de finale)Challenge cup dames (1/4 retour)
On vient, on gagne et on s'en va ! C'est un slogan que se sont appropriées les Nîmoises depuis le début de l'année et qu'elles tenteront de reprendre une fois de plus à leur compte ce soir. Trois jours après leur victoire à Dijon, qui leur a ouvert les portes des demi-finales de la Challenge cup (lire ci-dessous), elles reprennent à nouveau la route. Direction Angoulême cette fois, pour le compte de la seizième journée du championnat.
Les compétitions changent, l'objectif sera le même, surtout dans la salle d'une équipe qui reste sur trois défaites et un nul : la gagne. « C'est un piège », prévient toutefois Fanny Bosc. « Mais des pièges, on en a quand même déjoués quelques-uns cette saison », ajoute la pivot qui pense notamment à Mios, Besançon et Fleury, trois des six succès
signés à l'extérieur cette année. « Dans ces moments-là, il faut faire retomber l'euphorie et gérer ses émotions », enchaîne Manu Ilie. Dans ce domaine, elle n'a pas le moindre doute sur les capacités de son équipe à se remobiliser. « Ce qui m'inquiète le plus, dit-elle en revanche, c'est la répétition des déplacements et des matches. » Jusqu'à présent, entre les blessures des unes et le besoin de souffler des autres, l'entraîneur nîmoise a plutôt bien géré son groupe. Aujourd'hui encore, elle fera tourner, laissant à Nîmes Blandine Dancette, Ingrid Barral, Alicia Perez et Priscilla Marchal, la première pour une blessure au muscle droit antérieur, la seconde pour des raisons professionnelles, les deux autres pour les mettre à disposition de la réserve qui jouera samedi un match important pour son maintien.
Manu Ilie a donc fait appel à Chloé Bulleux dont ce sera le retour. Elle a aussi sorti de son chapeau une nouvelle petite jeune, en l'occurrence Charlotte Peyrolle, une ailière droite. « Je sais que je peux compter sur elle, lâche Manu. Elle a de la hargne. » Une qualité bien nîmoise.


Frédéric PRADES
Nîmes (3e, 32 pts) joue
à Angoulême (8 e , 23 pts) aujourd'hui à 20 h 30.
Le groupe : Houba, Hansen, M. Marchal, Florin, Carrat, Macra, Bosc, Donguet, Bulleux, Signaté, Champion, Peyrolle.
Sud ouest

ANGOULÊME 26
NÎMES 27 Mi-temps : 14-14.
Arbitres : MM. Buy et Pichon. Spectateurs : environ 250.
Avertissements au ACH : Itoua (9e), Roussillon (14), Kimbambe (24). Nîmes: Florin (, Donguet (11), .
Exclusions temporaires. ACH: Gaschet (10), Augustin (31), Pommie (55).
A Nîmes : Bosc (16), Signate (33, 43), Macra (36, 52).
ACH. Maho(15 arrêts dont 1P), Ventura; Diarra (2), Roussillon (6), Vigner (2), Kablouti (3), Gaschet (7 dont 2P), Kibamba (2), Coran, Augustin (2), Pommie, Itoua (2 dont 1P).
Nîmes. Houba (10 arrêts), Hansen (7 arrêts dont 3P); Marchal (2), Perez, Champion, Florin (6 dont 3P), Carrat (4), Macra (7), Bosc (2), Donguet, Bulleux (1), Signate (4), Peyrolle.


Soixantième minute de jeu. Nîmes
hérite d'un pénalty après une grossière faute défensive. Jennie Florin, en réussite jusqu'alors, se fait contrer par Laurence Maho en place dans ses cages. Angoulême joue sa dernière attaque. Mélanie Roussillon tente d'inscrire un dernier but. Coup de sifflet. Passage en force ? Faute défensive ? Les arbitres discutent. Faute défensive. Angoulême récupère la balle.Cafouille.Nîmes s'empare du cuir. La sirène retentit. Angoulême s'incline 26-27.
Pire qu'un thriller hitchcockien, l'affiche entre Angoulême et Nîmes aura tenu des promesses auxquelles on ne s'attendait pas.
C'est Angoulême qui avait trouvé la voie des filets en premier. Les Gardoises, sans complexe, collent au score. Les Angoumoisines, décomplexées, les tiennent aussi. But pour but dans cette première mi-temps haletante qui mène à la pause sur un score de parité: 14-14.
Dans le premier quart d'heure de deuxième mi-temps, au moment où Angoulême laisse filer le score et les immanquables (18-22, 43e), les ténors de l'équipe gardoise posent leur jeu et montrent la voie des filets, à l'instar de Jennie Florin et Nathalie Macra. C'est cet instant du jeu que choisit la gardienne gardoise Linda Hansen pour être irréprochable.
« Merci les filles», sourit Manuela Ilie, « même si ce n'était pas super, on a gagné, c'est l'essentiel ».
Midi libre

Édition du mercredi 25 mars 2009
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Photo Stéphane BARBIER

HandballDivision 1 féminine (16 e journée) : Nîmes joue à Angoulême

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Les compétitions changent, l'objectif sera le même, surtout dans la salle d'une équipe qui reste sur trois défaites et un nul : la gagne. « C'est un piège », prévient toutefois Fanny Bosc. « Mais des pièges, on en a quand même déjoués quelques-uns cette saison », ajoute la pivot qui pense notamment à Mios, Besançon et Fleury, trois des six succès
signés à l'extérieur cette année. « Dans ces moments-là, il faut faire retomber l'euphorie et gérer ses émotions », enchaîne Manu Ilie. Dans ce domaine, elle n'a pas le moindre doute sur les capacités de son équipe à se remobiliser. « Ce qui m'inquiète le plus, dit-elle en revanche, c'est la répétition des déplacements et des matches. » Jusqu'à présent, entre les blessures des unes et le besoin de souffler des autres, l'entraîneur nîmoise a plutôt bien géré son groupe. Aujourd'hui encore, elle fera tourner, laissant à Nîmes Blandine Dancette, Ingrid Barral, Alicia Perez et Priscilla Marchal, la première pour une blessure au muscle droit antérieur, la seconde pour des raisons professionnelles, les deux autres pour les mettre à disposition de la réserve qui jouera samedi un match important pour son maintien.
Manu Ilie a donc fait appel à Chloé Bulleux dont ce sera le retour. Elle a aussi sorti de son chapeau une nouvelle petite jeune, en l'occurrence Charlotte Peyrolle, une ailière droite. « Je sais que je peux compter sur elle, lâche Manu. Elle a de la hargne. » Une qualité bien nîmoise.


Frédéric PRADES
Nîmes (3e, 32 pts) joue
à Angoulême (8 e , 23 pts) aujourd'hui à 20 h 30.
Le groupe : Houba, Hansen, M. Marchal, Florin, Carrat, Macra, Bosc, Donguet, Bulleux, Signaté, Champion, Peyrolle.
Midi libre

Édition du jeudi 19 mars 2009
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Photo Stéphane BARBIER

HandballCoupe de France féminine (8 e de finale)

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Challenge cup dames (1/4 de finale aller)Challenge cup dames (1/4 aller)
HBC NÎMES 32
FLEURY/AUBRAIS 20Le Parnasse. 300 spectateurs.
Mi-temps : 15-9.
Arbitres : Melles Bonaventura.
NÎMES : Houba (1re-30e, 17 arrêts dont 1 p.), Hansen (30e-60e, 10 arrêts) ; M. Marchal (5/, Perez (1/7), Champion (3/, Florin (1/3), Carrat (6/, Macra (8/12), Dancette, Bosc (1/3), Bulleux (cap., 2/4), Signaté (3/9), P. Marchal (2/3).
Exclusion temporaire : M. Marchal (44e ).
FLEURY-LES-AUBRAIS : Obein (1re-16e, 29e-30e, 50e-60e, 7 arrêts), Attingre (16e-29e, 30e-50e, 10 arrêts) ; Keita (cap., 2/10), Zachova (2/7), Nomoko (2/2), Kamdop (0/1), Ferroussier (1/3), Kleiber (1/2), Germany (2/6), Landre (3/5), Neveu (0/1), Filipovic (6/14), Beaugendre (1/3).

Jamais deux sans trois. Hier soir, le HBC Nîmes a remporté sa troisième confrontation
de la saison face à Fleury-les-Aubrais et s'est qualifié pour les quarts de finale de la coupe de France. A J-4 d'un autre quart, dimanche à Dijon, manche retour de la Challenge cup, Nîmes, devant un adversaire qui a accepté sa domination et n'a rien produit en attaque comme en défense, n'a pas eu à puiser dans ses réserves physiques.
A la grande satisfaction de Manuela Ilie, heureuse de « ce mélange des générations qui s'est fait à merveille » , le HBCN a en revanche montré qu'il ne manquait pas de réserves humaines. Les jeunes Bulleux, Perez, Marchall (Priscilla) et Champion ont laissé entrevoir leur potentiel. « La relève est là », s'est enthousiasmé Manuela Ilie qui a tenu à mettre en avant le travail, au centre de formation, de Christophe Chagnard et Lorie Roudière .
Sur le parquet que seule Dancette (adducteurs) n'a pas foulé, il n'y a pas eu de match. Fin février, dans le Loiret, en championnat, « on en avait pris plein la gueule , se souvient Fanny Bosc. Là, elles ne voulaient pas gagner. » Efficaces en défense, soulagées par deux gardiennes qui ont fait le boulot, les Nîmoises menaient déjà 7-2 à la 9e, puis 12-4 à la 17e. Malgré quelques précipitations et maladresses, plusieurs poteaux, aussi, la victoire était assurée à la pause (15-9). Parachevé par un kung-fu de Florin et Carrat, le cavalier seul, qui a permis à Manuela Ilie de faire tourner, s'est poursuivi sans anicroche (21-13 à la 40e, 29-18 à la 52e) jusqu'au +12 final.
Midi libre

T. A

Édition du lundi 23 mars 2009
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DR

HandChallenge cup dames (1/4 retour)

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Coupe de France féminine (8 e de finale)ZONE Nîmes avec Donguet
DIJON 22
NÎMES 28A Dijon, palais des sports.
Mi-temps : 12-11.
Spectateurs : 2 000 environ.
Arbitres : MM. Stenrand et Birch (Danemark).
DIJON : Bertrand (39', 6 arrêts dt 0/2 pen.), Jeoffroy (21', 4 arrêts dt 1/4 pen.). Delorme, Revil (1/3), Terzi, Jelic, Pecqueux-Rolland (2/3), Murigneux (4/4, cap.), Drii-Hadj (3/4), Bernardot (0/1), Jacquinot (3/7), Mavoungou (2/9), Fiossonangaye (6/14 dt 2/3 pen.), Saïd Mohamed (1/5).
Deux minutes à : Pecqueux-Rolland (14e, 23e), Fiossonangaye (15e), Drii Hadj (52e).
HBC NÎMES : Houba (20', 2 arrêts dt 0/2 pen.), Hansen (40', 12 arrêts dt 1/1 pen.). M. Marchal (3/5), Perez (1/2), Barral (1/1), Champion (3/4 dt 2/2 pen.), Florin (2/6 dt 1/2 pen.), Carrat (2/2), Macra (2/5), Dancette (3/6 dt 1/2 pen.), Bosc (0/1), Donguet (3/,
P. Marchal (1/2), Signaté (7/10).
Deux minutes à : Marchal (9e), Signaté (16e), Bosc (56e), Champion (60e), Barral (60e).
Évolution du score : 0-1, 3e ; 4-2, 8e ; 5-5, 12e ; 10-8, 20e ; 11-11, 26e ; 12-11, 30e ; 13-17, 38e ; 14-19, 42e ; 17-20, 47e ; 17-23, 49e ; 19-26, 57e.


Au coup de sifflet final, les Nîmoises sont allées partager leur joie avec la trentaine de supporters qui avaient fait le déplacement en minibus. Mais avant, elles ont fait sauter dans les airs Fanny Bosc dont c'était l'anniversaire.
« Ce matin, elles m'avaient promis un cadeau, raconte la pivot du HBCN. Je pensais bien sûr à la qualification pour les demi-finales. Elles y ont ajouté la victoire et un score qui n'est pas si anecdotique que ça. » 22, c'est le jour de mars où est née la Nîmoise. C'est aussi le nombre de buts inscrits par les Dijonnaises. 28, c'est l'âge de Fanny Bosc. Ce sont aussi les buts des Nîmoises qui, après avoir déjà remporté l'aller, se sont donc facilement imposées hier, signant du même coup leur sixième victoire en autant de matches dans cette compétition cette saison. C'est aussi la sixième en six déplacements en 2009 ! On leur avait promis la galère. Mais jamais les filles de Manu Ilie n'ont véritablement été inquiétées. Appliquées en défense, elles ont le plus souvent trouvé les solutions pour attaquer la défense étagée des Bourguignonnes. « Quand j'ai vu la hargne que les filles ont mise d'entrée, je me suis dit que rien ne pourrait nous arriver », assure Manu Ilie qui n'a donc même pas eu peur quand les Dijonnaises, par trois fois en première période, ont compté deux buts d'avance. Il en aurait fallu effectivement beaucoup plus pour contrarier les plans d'une équipe au sein de laquelle Linda Hansen dans les buts a parfaitement suppléé Nicky Houba.
Sûr de son affaire lors de ce premier acte, le HBCN a mis la main sur le match dès la reprise. « A la pause, explique Fanny Bosc, on s'est dit que les dix premières minutes de la seconde période seraient importantes ; qu'il fallait défendre et remonter les ballons. » En douze petites minutes, c'est de cette façon que Nîmes, en signant un 8-2, est passé devant, a tranquillement géré et a fait comprendre aux Dijonnaises que les quarts de finales étaient décidément leur destination finale. Le HBCN, lui, est en demi-finale. C'est la troisième fois en six participations. Demain, il connaîtra son adversaire. Ce sera soit les Allemandes de Blomberg Lippe ou de Thüringer, soit les Turques de Izmir. Photo PQR/Le Bien public


De Dijon, Frédéric PRADES
En quarts de finale de la coupe de France, Nîmes jouera à Mérignac. La rencontre aura lieu probablement mercredi 8 avril.

Édition du mercredi 18 mars 2009
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Photo S. B.

HandballLe HBCN reçoit Fleury en coupe de France (8 e ), ce soir au Parnasse

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Challenge cup (1/4 aller) : Nîmes - Dijon, ce soirChallenge cup dames (1/4 de finale aller)
« C'est un match qui n'est pas très bien venu. » Ce n'est pas son style, mais Manuela Ilie n'est pas enchantée à l'idée de jouer, ce soir au Parnasse contre Fleury-les-Aubrais, un huitième de finale de la coupe de France.
Coincée entre les matches des quarts de finale de la Challenge cup face à Dijon, la rencontre n'aurait pas tourmenté plus que ça un HBCN sûr de sa force. Même si Manu Ilie dit que Fleury « joue libéré depuis son changement d'entraîneur », c'est un adversaire que ses joueuses ont dominé deux fois cette saison. La première, c'était au Parnasse en septembre dernier (29-21) ; la seconde, c'était dans le Loiret fin février (30-33).
« Avec une équipe au complet, on aurait joué ce match pour le gagner », dit encore Manu dont la troupe
reste sur sept victoires consécutives toutes compétitions confondues. Sauf que Nîmes ne sera pas au complet. Julie Goïorani et Madalina Simule ont rejoint l'infirmerie (ci-dessous) d'où est en train de sortir progressivement Gisèle Donguet.
Alors ce soir, sans parler du mot impasse, le HBCN va gérer. Et s'adapter aux événements. « S'il y a une qualification à prendre, on la prendra, prévient l'entraîneur nîmoise. Mais il ne faut pas se tromper d'objectif. Le match important cette semaine, c'est celui de dimanche à Dijon. Depuis que j'entraîne, je n'ai jamais été confrontée à cette situation. » Veiller à répartir équitablement le temps de jeu sera un des soucis de Manuela Ilie. Elle a d'ailleurs prévu de convoquer quatorze joueuses alors qu'elle n'en avait aligné que douze vendredi. Le bon côté de la chose, c'est que le HBCN peut compter sur son vivier où il ira chercher quatre joueuses : Chloé Bulleux, Alicia Perez, Priscilla Marchal et Cindy Champion. Pour la première, déjà vue en équipe une, ce ne sera pas une découverte. Pour la seconde, opérée des croisés il y a un an, ce sera le grand retour. Pour la troisième, un pivot dont on dit le plus grand bien, et la dernière, une arrière gauchère, ce sera, en revanche, une grande première.
Midi Libre

SPORT GARD
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Édition du vendredi 13 mars 2009
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Photo Stéphane BARBIER

HandballChallenge cup (1/4 aller) : Nîmes - Dijon, ce soir

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Challenge cup (1/4 de finale aller) : Nîmes reçoit DijonZONE Le match Coup d'envoi :
Ce pourrait être un match de D1. Ce le sera d'ailleurs le 29 mars. Ce pourrait être aussi un match comptant pour une coupe nationale. Ce Nîmes - Dijon sera un insolite quart de finale aller de la Challenge cup. L'Europe offre habituellement sa part de mystère. Là, les deux équipes se connaissent par coeur. A la lutte ces dernières années pour les places d'honneur du championnat, elles ont même des similitudes. Etats des lieux.
1 La forme du moment Faciles vainqueurs des deux premiers tours de cette Challenge cup, qualifiées pour les 8 e de finale de la coupe de France, Nîmoises et Dijonnaises ont encore pour point commun d'avoir été sorties en quarts de finale de la coupe de la Ligue.
La différence, elle existe en championnat où le HBCN (3 e ) a quatre points d'avance sur le CDB (5
e ). Dans cette compétition qui prime la régularité, les Bourguignonnes ont fauté deux fois contre des équipes de la seconde moitié de tableau. Ce sont des sautes d'humeur dont les Nîmoises ont été épargnées. Nîmes reste sur quatre victoires de suite. Dijon a vu sa série (trois succès, un nul) s'interrompre mercredi au Havre. Et les Gardoises, qui ont joué contre Metz mardi, auront eu un jour de récupération en plus.
L'avis de Manu Ilie :« Au niveau des résultats, on est proche l'un de l'autre avec le même style de jeu, des arguments en attaque et une défense solide. » 2 Les effectifs Lors de la dernière journée de D1, les deux clubs ont aligné des équipes dont la moyenne d'âge est sensiblement la même (26 ans pour Nîmes, 27 ans pour Dijon). Les observateurs louent la complémentarité du collectif gardois et le travail en profondeur entrepris ces dernières années par le club. La semaine dernière, le HBCN avait quatre filles en équipe de France , des jeunes qui ont une réelle influence, suppléées, le cas échéant, par les anciennes qui retrouvent une seconde jeunesse. Un bémol : l'absence de Gisèle Donguet.
Dijon, dont la relève est encore un peu tendre, n'était pas représenté en bleu. L'atout dijonnais, appréciable dans ce genre de confrontation, ce sont en revanche ses joueuses d'expérience, Saïd Mohamed à la mène, Fiossonangaye sur la base arrière, Pecqueux-Rolland en défense et au pivot.
L'avis de Manu Ilie : « Sans faire injure à Dijon, l'effectif nîmois semble meilleur sur le papier. Sauf qu'un papier n'a jamais marqué de but. Et puis la forme physique peut faire la différence. » 3 Le vécu européen Six campagnes, 26 matches, une victoire en 2001 pour Nîmes ; douze campagnes, 72 matches et deux finales perdues pour Dijon (la Challenge cup en 2005, l'IHF en 1993).
Les chiffres plaident en faveur des Dijonnaises qui ont, en outre, remporté deux confrontations franco-françaises. C'était en 2005 et 2007 face à Fleury-les-Aubrais. La seconde fois, le 33-20 du retour avait fait oublier le 35-25 de l'aller. Dans cette Challenge cup, à laquelle il participe pour la cinquième fois de suite, Dijon reste sur trois éliminations de suite en quarts.
De son côté Nîmes s'est qualifié six fois sur sept en jouant l'aller à la maison... L'avis de Manu Ilie :« L'expérience dans ce genre d'événements, où chaque but marqué ou concédé compte, est primordiale. Et Dijon, avec des filles qui ont joué la ligue des champions, n'en manque pas. »

Frédéric PRADES
Midi Libre

Édition du mardi 10 mars 2009
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Camille AYGLON Arrière droite de Metz, ex-Nîmoise

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Division 1 féminine (15 e journée)Bouhenia en finale et prêt à retrouver son titre
Dans quel état d'esprit abordez-vous ce retour
à Nîmes avec Metz ?
Je vais essayer de le prendre comme n'importe quel match, mais je sais que ça va être compliqué et particulier. Tendue, émue, anxieuse ou motivée ? Il y a un petit mélange de tout ça. C'est la première fois que je reviens au Parnasse. Ce sera en tout cas un plaisir de croiser mes anciennes coéquipières dont beaucoup sont des amies. On s'est d'ailleurs vues avec quelques-unes la semaine dernière en équipe de France.
Comment abordez-vous
ce match ? C'est un gros test face à une équipe qui a du talent et qui joue ensemble depuis longtemps. Il nous reste deux déplacements compliqués, celui-là en fait partie. Si on le gagne, ce sera une option pour le titre.Quel bilan faites-vous
de vos
débuts à Metz ?Je suis dans un grand club attendu à tous les déplacements. J'ai eu la chance de faire la ligue des champions, on joue le titre de champion de France. Il y a beaucoup d'exigences. Aucune défaite à domicile n'est tolérée en championnat. Je suis contente d'avoir réussi à m'affirmer dans ce collectif au sein duquel je suis confrontée à la concurrence. Il n'y a que du positif sur tous les plans. Le seul bémol, c'est l'éloignement des êtres qui me sont chers.
Votre compagnon, Guillaume Saurina, joue à Nîmes. Cela pourrait-il vous contraindre à quitter Metz où vous avez encore un an de contrat ?Je suis venue à Metz pour être championne. La suite, on verra.



Recueilli par F. P.
Midi Libre

Édition du jeudi 12 mars 2009
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Photo PQR

HandballLe co-entraîneur des filles de Dijon a joué à l'Usam

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À SAVOIR Football Championnat académique : quatre équipes gardoises enSEPT JOURS À NÎMES AUJOURD'HUI
RAPPEL
Demain, à 19 h 30
au Parnasse, le HBCN reçoit Dijon en quarts
de finale aller
de la Challenge cup « Nîmes, ce sont les meilleures années de ma jeunesse. » Il n'y pas de nostalgie dans la voix de Pierre Terzi. Simplement le bonheur de remonter le temps pour celui qui, demain, à l'occasion du quart de finale aller de la Challenge cup, entre Nîmes et Dijon, sera assis sur le banc visiteur.
« J'ai vécu à Nîmes de 1975 à 1982, raconte-t-il. J'ai connu les établissements scolaires de Montaury et de Daudet. J'ai fréquenté la sport études et joué à l'Usam avec Michel Escalier, les frères Rebatel, Alain Portes, Philippe Courbier. J'ai même joué en sélection régionale avec Olivier Gébelin, le président du HBCN. Nîmes, c'est la période de l'insouciance et des
franches rigolades avec une bande de fous furieux. » De son passage chez les Verts, « dont je suis toujours un fidèle supporter », le pivot garde le souvenir d'un baptême du feu délicat. « Quand j'ai été lancé en D1, l'équipe n'était pas au mieux. Elle avait d'ailleursété reléguée en D2. » Pierre Terzi, 49 ans, a mis le cap sur Dijon pour des raisons professionnelles. Après s'être engagé dans l'armée comme préparateur physique dans une base aérienne, il est devenu enseignant au Creps de Dijon en 1990. Mais il revient souvent à Nîmes. « Mon épouse, Nicole, qui avait joué au HBCN et à Bouillargues, est Gardoise, explique-t-il. Ma belle-famille est à Nîmes. On y va au moins quatre fois par an. Je connais par coeur quelques petites routes sur lesquelles je vais faire du vélo. Sans doute reviendrons-nous un jour dans la région, pour s'installer ou avoir un pied à terre, pas forcément dans le handball. » Dans le Gard, Pierre Terzi, qui a aussi été préparateur physique de l'équipe de France féminine lors de son sacre mondial en 2003, y revient demain avec le club dijonnais qu'il a rejoint en 1998. « Quand le président est venu me chercher, je n'étais pas très chaud. J'y ai mis un pied, puis deux. Maintenant, j'y suis jusqu'au cou », rigole-t-il. Depuis deux saisons, il fonctionne en binôme avec Elena Groposila. « Je suis en charge de certains aspects de l'entraînement. Pendant les matches, on se partage les rôles », dit-il.
Observateur avisé du hand féminin français, il souligne le travail que le HBCN a réalisé ces dernières années. « Il a changé d'orientation en recrutant des jeunes et en tire les bénéfices aujourd'hui. Dans ce domaine, il a un temps d'avance sur nous. » Mais il prévient : « Sur le terrain et sur un duel aller-retour, je ne suis pas sûr qu'il y ait une grosse différence entre les deux équipes. » L'amour pour Nîmes a quand même quelques limites. Surtout quand un billet pour les demi-finales d'une coupe d'Europe est en jeu.

Frédéric PRADES
Midi Libre

Édition du mardi 10 mars 2009
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HandballNîmes : roulez jeunesse !
Sans doute faut-il y voir le signe que le HBC Nîmes est redevenu un club qui compte. La semaine dernière, quatre joueuses du club gardois étaient retenues en équipes de France A et A' pour un stage de travail et des matches amicaux contre la Norvège. Il y avait là Julie Goïorani, Delphine Carrat, Blandine Dancette et Mariama Signaté. La première est un pur produit de la maison nîmoise. Les deux suivantes sont arrivées plus récemment pour parfaire leur formation. La dernière, la plus âgée de l'escouade (24 ans), a proposé ses services à l'intersaison, séduite par le projet nîmois.

Le projet en question ? Bâtir une équipe compétitive en puisant dans un centre de formation performant et en recrutant des joueuses en devenir. « En 2001, on n'a pas su rebondir », se souvient Olivier
Gébelin qui admet : « On a mal géré notre victoire en coupe d'Europe et l'on est entré dans le rang quelques saisons. Comme on n'avait pas les moyens de recruter à tout va, on a fait le choix pleinement assumé de la formation. Dans le contexte économique très particulier du sport féminin, c'était la seule solution. » Après quelques saisons de doute, le travail porte aujourd'hui ses fruits. Plus fidèle pensionnaire, avec Metz et Besançon, de l'élite depuis 1997, le HBCN est troisième après treize journées. Sur les onze dernières éditions, il n'avait fait aussi bien que deux fois : en 1999 avec Alain Portes et pas plus tard que la saison dernière. En charge de l'équipe pour la quatrième saison consécutive, Manuela Ilie a mis sa griffe personnelle sur cet effectif et apporte chaque année des petites retouches. « Aujourd'hui, le chantier est bien avancé. L'équipe a franchi un cap, peut-être plus rapidement que je le pensais d'ailleurs », avoue-t-elle.

Vainqueur de trois de ses quatre derniers matches, Nîmes reste sur trois victoires de suite à l'extérieur, dont une à Mios, où tous les autres ténors sont tombés cette saison. « Dans un bon jour, on peut battre n'importe qui », assure Manu Ilie qui ne s'emballe toutefois pas.

Prétendre au podium, sur lequel le HBCN n'est monté qu'une seule fois (3 e en 1999) depuis qu'il est parmi l'élite, passera, elle en est convaincue, par des performances plus grosses encore que des victoires à l'extérieur face à des seconds couteaux. Sauf que deux des trois revers cette saison ont été concédés à la maison face au Havre et Issy, des cadors.

Metz, ce soir, que le club gardois n'a battu que deux fois à Nîmes en onze confrontations, apparaît donc comme un bon test. Sa venue donnera surtout le ton d'un mois de mars durant lequel les Gardoises, entre les affaires domestiques et la coupe d'Europe, joueront six fois. Et à l'issue duquel on en saura plus sur les capacités de cette équipe à nouveau ambitieuse.

Le Groupe : Houba, Hansen (gardiennes), Marchal, Simule, Goïorani, Barral, Florin, Carrat, Macra, Dancette, Bosc, Signate.
Absentes : Donguet (genou), Bulleux (repos).


Frédéric PRADES
Nîmes (3 e , 29 pts) reçoit Metz (1 er , 36 pts), ce soir à 19 h 30 au Parnasse.
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Édition du mercredi 11 mars 2009
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HandballDivision 1 féminine (15 e journée)

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HBC NÎMES 27
METZ 26Salle du Parnasse.
Mi-temps : 14-14.
Arbitres : MM. Bader et Weber.
Spectateurs : 900 environ.
NÎMES : Houba (30', 6 arrêts dt 0/1 pen.), Hansen (30', 10 arrêts
dt 0/2 pen). Marchal (1/1), Simule (2/3), Goïorani (3/3), Barral, Florin (7/13 dt 3/5 pen.), Carrat (4/5), Macra (1/7), Dancette (5/8
dt 1/2 pen., cap.), Bosc (0/2), Signaté (4/15).
Deux minutes à : Simule (16e), Signaté (39e).
METZ : Leynaud (60', 20 arrêts
dt 2/7 pen.), Costache. Kysucanova (0/5), Guehl (6/9), Kanto (1/2), François, Poznarova, Lovric (6/10), Piéjos (1/4), Ayglon (5/7), Wendling (2/2, cap.), Ognjenovic (2/5 dt 2/3 pen.), Horacek (3/7).
Deux minutes à : Wendling (15e), Ayglon (26e), Horacek (40e), Ognjenovic (52e).
Évolution du score : 2-0,
3e ; 2-3, 6e ; 6-4, 13e ; 8-6, 15e ; 8-13, 24e ; 13-13, 29e ; 14-14, 30e ; 17-16, 34e ; 18-21, 45e ; 22-22, 50e ; 22-24, 51e ; 25-26, 58e ; 27-26, 59e.


Elles avaient sans doute estimé que ça suffisait comme ça. Parmi les candidats au titre, ceux que l'on annonce sur le podium en tout cas, deux d'entre eux déjà (Issy et Le Havre) étaient venus dicter leur loi au Parnasse. Pas question que le troisième en fasse autant. Quand bien même il s'agit du champion de France en titre. « Il nous fallait un succès de prestige pour être crédible et montrer que l'on peut se mêler à la lutte pour le podium », dit Serge Julita, l'adjoint de Manuela Ilie.
Crédibles, les Gardoises l'ont été en battant une formation messine qui ne s'était inclinée que deux fois dans le Gard depuis 1997. Lorsqu'à partir du quart d'heure de jeu, les leaders du championnat signèrent un 7-0 en l'espace de neuf minutes pour porter leur avance à cinq buts (8-13), on ne donnait pourtant pas cher des chances des Gardoises qui auraient sombré il y a peu. Mais une première fois, au courage, avec du talent aussi, Nîmes était revenu.
Quand, au milieu de la seconde période, les Lorraines avaient empêché leurs adversaires de marquer durant onze minutes cette fois et porté leur avance à trois longueurs (18-21), on avait encore eu des craintes pour cette équipe nîmoise, handicapée qui plus est par les échecs de sa base arrière. « Sauf qu'on n'a pas retenu la leçon de Dijon où on menait de neuf buts et où on a fait match nul, regrette Camille Ayglon, qui rêvait sans doute d'un tout autre retour. On n'a pas su remonter les ballons comme il le fallait. Les matches internationaux ont sollicité beaucoup de filles de l'équipe et on ne s'est guère entraîné ensemble, mais Nîmes n'a pas volé sa victoire. » Dans la fin de match, la fraîcheur a peut-être fait la différence. Serge Julita en convient. « L'envie aussi », ajoute Blandine Dancette, la capitaine d'un soir qui n'a pas tremblé au moment de réussir le penalty victorieux. « Mais avant d'aller chercher cette victoire avec les tripes, l'équipe a aussi été performante dans le jeu sur tout le terrain », précise quand même Serge Julita.
Si, dans sa course au titre, Metz a grillé son dernier joker, Nîmes, pour sa part, tout en confortant sa troisième place, a idéalement lancé son mois de mars. A présent, place à l'Europe avec, dès vendredi, la réception de Dijon pour le quart aller de la Challenge cup. Photo Stéphane BARBIER

Frédéric PRADES
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