Actus Dijon

Hand - D1 féminine (17e journée) - Après Nîmes-CDB (29-29)
Le CDB s'en satisfait

En ramenant le match nul (29-29) de Nîmes, équipe impressionnante depuis onze matches, le CDB a réussi son objectif de performance, même si celle-ci aurait pu être encore meilleure. L'Europe reste plus que jamais d'actualité.
IL fallait quand même le faire. Les Dijonnaises sont parvenues à freiner le TGV nîmois, lancé à grande vitesse depuis deux mois (dix succès d'affilée) en accrochant le match nul (29-29) sur les terres gardoises. Un score de parité (comme au match aller à Dijon, 28-28) qui vient apporter un peu de réconfort après les deux défaites concédées en quart de finale de la Challenge cup face à ces mêmes Nîmoises.
Un score de parité qui peut laisser toutefois des regrets aux Dijonnaises tant ces dernières sont passées près d'une victoire dans le Gard. Rejointes dans les dernières secondes de jeu sur un penalty de la Nîmoise Florin, les joueuses d'Elena Groposila et Pierre Terzi ont toujours mené les débats durant cette rencontre, notamment lors d'une première période parfaitement abordée, l'une des plus abouties depuis longtemps pour le CDB, avec une Axelle Bertrand précieuse dans les buts.
Deux places pour quatre
La suite allait malheureusement être d'un tout autre acabit. Face à un adversaire plus mordant - à l'image de Signate qui inscrit ses 7 buts en 2e période -, les Bourguignonnes ont souffert et résisté pour ne pas être dépassées.
« Vu comment cela se termine, avec le retour en trombe de Nîmes, ce match, nous aurions très bien pu le perdre », souligne Pierre Terzi. « Où on peut avoir des regrets c'est sur la première mi-temps où l'on n'a pas su concrétiser les balles de + 7 ou + 8. Maintenant, en deuxième période, on a lâché trop de balles précipitamment, on les a remises dans le match, on finit ainsi avec 23 pertes de balles contre 12 pour Nîmes. On aurait donc pu faire beaucoup mieux. A cela s'ajoute un arbitrage qui ne nous a pas vraiment été favorable. »
Des grains de sable dans le collectif dijonnais qui offrent à l'arrivée seulement les deux points du match nul. « Pour l'objectif européen, on doit gagner tous nos matches à la maison et faire une ou deux perf' à l'extérieur. Après Metz, on fait nul à Nîmes, on est sur de bons rails », note le coach dijonnais. « Il faut maintenant aller faire une autre perf' à Issy. »
Avec 33 points, le CDB se retrouve ainsi quatrième, à égalité de points avec Issy et Mios (mais un match en moins), et possède un petit point d'avance sur Besançon. Trois adversaires que les Dijonnaises vont affronter lors des cinq dernières journée de championnat, pour espérer accrocher l'une des deux places européennes (4e et 5e places si Le Havre, Metz ou Nîmes sont vainqueurs ou finalistes des coupes de France et de la Ligue).
La lutte promet donc d'être rude entre les quatre protagonistes. « Nous ne sommes pas sereins, mais nous ne sommes pas inquiets non plus », conclut Pierre Terzi.
Georges SANTOS
Le bien public

Hand - Division 1 féminine (17e journée) - Nîmes-CDb (29-29)
Si près du succès...

Quel match intense. Quel suspense. Comme au match aller (28-28), à la fin du mois d'octobre. A croire que ces deux formations n'ont plus aucun secret l'une pour l'autre.
Jusqu'au bout, Dijon y a forcément cru. Il était d'ailleurs « venu pour l'emporter », comme le rappellera au sortir du match Véronique Pecqueux-Rolland, mais il n'a finalement pas eu la peau de sa bête noire européenne. Peut-être de nature à nourrir quelques regrets. Dijon a quand même réussi à sauver l'essentiel en ne lâchant rien dans les derniers instants et en conservant une partie de la mise après avoir sûrement espéré mieux et avoir laissé filer, entre ses doigts, un autre résultat.
Notamment lorsqu'à la demi-heure de jeu, il a compté avec un joli petit pécule au fond de ses poches (12-17). Inspiré, combatif et entré comme il fallait dans ce match, Dijon s'était rapidement retrouvé dans ce match avec un petit avantage de +3 derrière le bras gauche de Stéphanie Fiossonangaye et une défense à étages suffisamment solide pour gêner les Nîmoises aux entournures.
« Il y a eu la place »
Nîmes s'est alors mis à cafouiller son collectif et à balbutier ses munitions offensives pendant que Dijon restait toujours aussi inspiré. La sanction a été immédiate : un -4 (9-13) et une incapacité des Nîmoises à gommer leur fébrilité sur les attaques placées.
Dijon a alors eu, une fois, deux fois, peut être davantage, les munitions pour enfoncer le clou… En vain. « C'est vrai qu'il y a eu la place pour se mettre à l'abri, mais à ce moment-là, on a manqué de précision » regrettera plus tard Pierre Terzi.
Il ne le savait pas encore, mais la suite serait plus difficile pour Dijon. Avec le brusque réveil de Mariama Signate, Nîmes s'est remis dans le match et a refait son retard en guère plus de dix minutes (20-20). Un autre match pouvait commencer. Compliqué jusqu'au bout.
Où Dijon restera toujours en tête, ou presque, jusqu'à huit secondes de la fin… avant un ultime penalty de Jennie Florin. Frustrant, mais finalement logique.
Il reste à Dijon de retrouver le chemin du succès, dans trois semaines jours, sur son parquet, face à Besançon. Pour confirmer son succès (23-24) du mois d'octobre dans le Doubs et tenter de revenir dans le quintet de tête du championnat. Une autre histoire.
Le Bien public

vendredi 27 mars 2009

Hand - D1 Féminine - après Dijon-arvor (30-21)
Le CDB doit enchaîner

Au terme de la victoire remportée très logiquement, et assez largement, contre Arvor mercredi soir (30-21), les Dijonnaises ne s'en cachaient guère. Oui, elles avaient encore la tête à l'élimination de la coupe d'Europe Challenge de dimanche contre Nîmes, aux portes des demi-finales. Oui, elles ont eu besoin au moins d'une mi-temps pour rentrer complètement dans le match. Même si ensuite, elles sont parvenues à faire la différence très rapidement.
« Ce n'est pas facile à digérer », reconnaît la capitaine dijonnaise Céline Murigneux. « Surtout qu'il n'y a pas eu photo. »
Alors plutôt que de gamberger, plutôt que de se laisser le temps pour cette difficile digestion, le calendrier un peu plus chargé que d'habitude, avec une journée de championnat à nouveau en semaine, était le bienvenu. « ça permet de penser à autre chose plus rapidement. »
Garder ses objectifs
Surtout que le Cercle Dijon Bourgogne a eu la bonne idée de gagner. Et de onze buts de surcroît, même si le succès a été remporté contre un des adversaires les plus modestes de la division 1. « C'était important. C'est plus facile d'enchaîner quand on gagne », précise l'ailière gauche.
Parce que le CDB n'a d'autre choix que de se reconcentrer sur les objectifs qu'il s'est fixés en début de saison. Décrocher un titre, ce qui passera forcément par un succès à Mios le week-end prochain. Et une qualification pour une nouvelle coupe d'Europe. Ce qui est synonyme d'un sans-faute à domicile, mais aussi d'exploits à l'extérieur.
Pour l'un comme pour l'autre, ce n'est pas gagné. La prestation des Dijonnaises face aux Brestoises est là pour le rappeler. Même si elles ont été plutôt bien en défense, l'attaque n'a pas toujours été flamboyante. Des balles perdues, des immanquables, des échecs aux tirs... « Nous n'avons pas forcément imposé notre jeu en première mi-temps. On s'est laissé endormir. Maintenant, nous avons tenu le match pendant soixante minutes. Peut-être que nous ne sommes pas encore totalement en confiance. Et nous manquons de discipline, de rigueur. » Des « petites » choses qui ont fait la différence dimanche.
Pour autant, le CDB, qui retourne dans le Gard dès dimanche, ne veut pas jouer les accablé. « C'est sûr que nous sommes outsiders », reconnaît Céline Murigneux. « Mais il y a moyen de passer. Il faut y croire. Nous devons être opérationnelles immédiatement en défense et nous devons mettre les ballons au fond. C'est difficile pour tout le monde, mais à un moment, il faut agir au lieu de parler. »
S. L.
Le bien public

undi 23 mars 2009

Hand - Challenge Cup (1/4 de finale retour) - Dijon-Nîmes (22-28)
Une sortie sans panache

Battues pour la deuxième fois en une semaine par le HBC Nîmes (22-28), les Dijonnaises ont quitté sans gloire la Challenge Cup au stade des quarts de finale pour la quatrième fois consécutive.
Eliminé l'an dernier sans avoir perdu la moindre rencontre face aux Slovaques de Bratislava en quart de finale de la Challenge Cup, le Cercle Dijon Bourgogne a subi le même sort à ce stade de la compétition de cette même coupe d'Europe.
Le tombeur des Dijonnaises s'appelle cette fois le HBC Nîmes, et contrairement à l'année dernière, l'élimination n'a souffert d'aucune contestation. Battues la semaine dernière lors du match aller 27-21, les Bourguignonnes ont connu, hier la même désillusion à domicile, en s'inclinant dans leur salle 28-22.
Pierre Terzi, le manager du CDB ne pouvait d'ailleurs que reconnaître la supériorité de cette équipe nîmoise qui reste sur une incroyable dynamique (9 victoires d'affilée toutes compétitions confondues). « Il n'y a pas eu photo. On a essayé de vouloir les bousculer pour récupérer les balles et les monter. Le problème, c'est qu'on n'a pas su les récupérer. Et quand on les a récupérées, on a été ou maladroits ou incapables de marquer des buts, notamment sur le côté droit. Nîmes était meilleur. »
Malgré une défense bien en place et agressive, le CDB aura malheureusement connu trop de défaillances offensives (44 % de réussite en 1re période) pour effacer son retard de six buts du match aller.
Ainsi, malgré les réalisations de Murigneux et Fiossonangaye, l'avance dijonnaise ne parvenait pas à dépasser les deux buts (4-2, 8e, 5-3 10e et 10-8 20e). D'autant que le danger venait de partout du côté nîmois avec, au relais Signate et Donguet. Le HBCN profitait habilement des balles perdues par Dijon, atteindre la mi-temps avec un petit désavantage au score d'un but (12-11).
Les Bourguignonnes tentaient le tout pour le tout au retour des vestiaires. Malheureusement la réussite n'était pas au rendez-vous. « On est à + 1, on a plusieurs balles de + 3, + 4, mais on s'expose tellement qu'on prend beaucoup de contres », expliquait le coach dijonnais.
Dijon s'expose
Après seulement huit minutes de jeu dans la deuxième période, les espoirs de retour des Côte-d'Oriennes s'étaient définitivement envolés lorsque Marchal en contre et Signate inscrivaient un cinglant 5-0 (13-17, 38e).
Encore sous le coup de massue gardois, les Dijonnaises tentaient bien de réagir par Drii-Hadj et Pecqueux-Rolland, mais l'adresse à l'image de Fiossonangaye et Mavoungou était toujours défaillante (19-26, 56e)
Nîmes se contentait tranquillement de gérer son avance tout en faisant tourner son effectif. Les jeunes Nîmoises participaient pleinement à la victoire (22-28) qui envoie pour la deuxième fois de son histoire le club gardois en demi-finale de la Challenge Cup.
Georges SANTOS
Le Bien public

jeudi 19 mars 2009

Handball - Coupe de France féminine (8es de finale) - Dijon-Besançon (29-28 a.p.)
Il était temps...

Défait au Havre et à Nîmes, le Cercle Dijon Bourgogne n'avait d'autre choix que de renouer avec la victoire après ces deux sorties ratées, et avant de recevoir Nîmes dimanche. Il l'a fait hier contre Besançon (29-28). Dans la douleur.
QUE ce fut long. Bien sûr, à l'instar de Pierre Terzi - qui reconnaissait n'avoir jamais tremblé, à l'issue du huitième de finale de coupe de France que le Cercle Dijon Bourgogne a remporté face à Besançon hier soir (29-28) -, on sentait bien qu'un petit coup d'accélérateur pouvait permettre aux Dijonnaises de reprendre les commandes et de s'imposer. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé.
Sauf que les Dijonnaises ont dû avoir recours à la prolongation pour venir à bout de leurs voisines bisontines. Et que sur un coup de dés, elles auraient très bien pu passer à la trappe. Lorsque Lévêque donna une énième fois l'avantage aux visiteuses (25-26) à quelque 25 secondes de la fin du temps réglementaire.
Sauf que Revil, sur son aile droite, passait par là à douze secondes du gong pour remettre les compteurs à zéro (26-26). Les deux équipes avaient donc deux périodes de cinq minutes supplémentaires pour faire la différence.
Jacquinot, alors que Khatkova avait quasiment stoppé la tentative de l'arrière dijonnaise mais voyait le ballon filer au fond des filets, et Jelic, pensaient bien avoir fait le plus dur (28-26). Mais Besançon, qui avait compté jusqu'à sept buts d'avance en première période grâce à Tizi (6-13 à la 23e) - et ce en toute logique tant Dijon était aux abonnés absents -, puis encore six unités d'avance en seconde période, grâce à Limal (11-17 à la 33e) et à Lévêque (13-19 à la 39e), défaisait le mini-break, grâce aux deux mêmes arrières bisontines (28-28).
ça se combine bien
Mais alors que Besançon était stoppé par le mur dijonnais, le CDB, qui avait déjà mené à bien une combinaison sur coup franc en première période de prolongation, faisait le même coup dans la deuxième, avec Fiossonangaye qui lançait Saïd-Mohamed en pleine zone, laquelle trompait Khatkova en kung-fu (29-28 à la 68e).
La défense bourguignonne continuait à serrer les rangs comme elle s'était mise à le faire au milieu de chaque mi-temps et Jelic récupérait un ballon après que Bertrand ait été décisive face à Tizi (69e).
Le CDB était en quart de finale de la coupe de France, mais que l'épreuve des huitièmes fut laborieuse.
« C'est toujours un match particulier », souligne Stéphanie Fiossonangaye. « C'est le derby, on sait que ça va être dur physiquement et mentalement. En plus, on a pensé au match de coupe d'Europe et on a oublié Besançon, qui a en plus des blessées actuellement. Mais elles nous ont fait courir tout le match. »
C'est même assez rapidement une course contre la montre que les Côte-d'Oriennes ont dû engager, lorsque Besançon a pris les devants en signant un 4-0 (4-5 à la 10e, 4-9 à la 18e). Surtout que Durand, Clerget et Tizi en remettaient une couche (6-13 à la 23e).
En jouant vite, Dijon revenait une première fois, avec Bernardot, Léa Terzi et Jacquinot (11-14 à la 30e).
Besançon se redonnait un peu d'air, mais les Dijonnaises s'étaient mises en route en deux fois (13-19 à la 39e, 17-19 à la 44e, 21-21 à la 49e).
Pour autant, le CDB ne parvenait à passer devant. Mais il savait attendre la prolongation pour le faire.
Stéphan LETOURNEAU
Le bien public

Handball - Coupe de France féminine (8es de finale) - Dijon-Besançon
Jouer un peu, beaucoup... ?

Entre deux tours de coupe d'Europe face à Nîmes, le CDB joue, ce soir (19 heures) en huitièmes de finale de coupe de France face à Besançon. Un nouveau derby que les Dijonnaises doivent négocier habilement sans y laisser trop de plumes.
C'est la grande question que les Dijonnaises n'arrêtent pas de se poser depuis trois jours et leur défaite en quart de finale aller de la Challenge Cup face à Nîmes (27-21) : doivent-elles faire l'impasse sur la rencontre de coupe de France, ce soir contre Besançon, pour se concentrer exclusivement sur le match européen, dimanche au palais des Sports ?
La réponse est évidemment un non catégorique pour la capitaine dijonnaise, Céline Murigneux, de retour dans le groupe après deux semaines d'absence. « Gagner cette rencontre, c'est la meilleure façon d'aborder la coupe d'Europe, cela nous va nous revigorer après deux défaites. »
Rotation en vue
Reste maintenant à savoir comment les Bourguignonnes vont aborder ce derby de l'Est au parfum toujours particulier. « Il n'est pas question de faire l'impasse sur le match », renchérit Pierre Terzi, le co-entraîneur du CDB, « on peut prendre l'option de la coupe de France, tout en essayant de ne pas cramer les organismes pour sortir le match contre Nîmes ».
Autant dire que l'on peut s'attendre très certainement à une grosse rotation ce soir face aux Bisontines. « C'est le moment pour certaines de montrer qu'on peut compter sur elles. Maintenant, on va, bien sûr, voir comment va se dérouler la rencontre et si on peut la prendre, on la prendra. »
Le genre d'option que ne se gênera pas de prendre la formation franc-comtoise. « C'est un autre chemin pour arriver à l'Europe », souligne Jan Basny. Reste que le coach bisontin doit faire face à une série de blessures au sein de son groupe et misera donc, ce soir, sur une formation rajeunie qui devra sortir le grand jeu battre une équipe dijonnaise expérimentée, même si cette dernière a sans doute la tête ailleurs.
Georges SANTOS
Les 8es de finale. - 19 heures, CDB-Besançon ; Nîmes-Fleury, Achenheim (N1)-Mios ; 20 heures, Mérignac (D2)-Toulon/St-Cyr ; 20h30, Angoulême-PTT Nice (N2), Bourg-de-Péage (D2)-Metz, Alfortville (N2)-Issy-les-Moulineaux,, Le Havre-Arvor 29
Bien public

Handball - Assemblée générale du CDB
Une situation financière déficitaire

Après trois mois de report pour cause de comptes non présentés dans les temps, l'assemblée générale du Cercle Dijon Bourgogne s'est enfin tenue lundi soir, non sans une certaine attente pour connaître la situation financière du club féminin dijonnais.
Après exposition des différents comptes, les dirigeants du club ont annoncé un déficit au 30 juin 2008 de 33 781 euros.
« C'est l'addition de petites dépenses supplémentaires dont il a fallu faire face », a expliqué Michel Amico, le président du CDB, sans s'étendre sur le sujet. Ce dernier a rassuré l'assistance en annonçant que la dette n'avait pas gonflé depuis le 1er juillet 2008 jusqu'à aujourd'hui. « On a serré un certain nombre de boulons dans notre budget. »
Le déficit, qui n'a rien d'insurmontable, sera mis sur le nouveau rapport du budget prévisionnel 2008-2009. Un budget de 807 000 euros en augmentation par rapport à la saison précédente (760 000 euros) que les dirigeants espèrent équilibrer. « Il va falloir être imaginatif pour répondre aux obligations fédérales. J'ai des assurances », souligne-t-il avec un optimisme qu'il qualifie lui-même de raisonnable.
Bien public

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